rez-de-chaussée / espace Moltogone
PERDU ?

vers le premier étage

Par là, c’est l’à-venir, les marches à gravir vers le premier étage et avec lui les éditions, celles où l’on publie les textes glanés, découverts, redécouverts.

C’est aussi là, en toute convivialité, que l’on ouvre grand les bras aux âmes plus ou moins égarées qui souhaitent résider et produire mots, textes et autres ornements pour décorer les murs virginaux de la maison.

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Revue

Quiconque pénètre ici ne peut être que saisi par l’agitation qui y règne. Là, un qui court. Ici, un autre roule. Celui-ci peint, tandis que cette autre crie.

Cette pièce est une zone aux contours flous, un incubateur créatif, dont la seule règle est LE THÈME.

Espace parallèle, pluridimensionnel, on y vit selon le thème qui aura été choisi. On y flotte, vogue, expérimente, débarrassé des lois de la pesanteur et de l’apesanteur pour mettre au jour LA REVUE.

Qu’on se rassure : on ne se perd pas ici. LE TEMPS existe encore et passe.

C'est la revue Moltogone nº 1, avec ses 14 auteurs, ses 16 contributions, son ISBN 978-2-490565-00-9 oui je répète, sans les tirets, 9782490565009, la carte à lire, avec dans le sommaire : Benito, Laurie Boussat, Camille Brantes, Fabien Bruno, Firmin Caspiet, Maximilien Cézanne, Thomas Coster, Clément Delhomme, Acelime Devans, Sophie Elle, Emmanuelle Gallienne, Camille Pourchet, Siamak Shoara, Max Wilkinson, et dans la team, Hugues Barra, Clara Drevet, Philippe Ngo, Samira Nedzibovic, Jean-Baptiste Lagadec à l'habillage

Le salon

On ouvre aussi le salon, qui était destiné aux pamphlets, mais la réalité des choses en a décidé autrement.

Derrière une bâche brumeuse brille une fenêtre. Les pots de peintures et gravats jonchent encore le sol. On n’a pas encore mis l’électricité, dit-on. On n’a pas encore amené les esprits éclairés, les diseurs de l’état actuel du monde, celles et ceux qui pensent, observent et écrivent la société en train de se faire. On les attend de pied ferme, on les accueillera à pages ouvertes.

La bibliothèque idéale

Derrière la porte, des livres. À perte de vue, des livres. Des livres que l’on n’a jamais lus, d’autres que l’on connaît bien. Des livres qui font comme Babel, qui sont comme Babel. Des livres que ceux qui habitent ici ont lus, chéris, dévorés, qu’ils cherchent encore. Des livres et du temps, pour les lire, les toucher, les regarder. Des livres pour se perdre ou apprendre, des livres pour se consumer.

bibliothèque, rayon, livre, sélection, meilleurs livres, ouvrages, classiques, philosophie, poésie, roman, exemple, illustration, la base quoi le projet transatlantic, le transatlantic project, est un projet d'écriture à quatre mains, et d'échanges par-delà l'océan Atlantique, avec les Etats-Unis notamment.

Transatlantic Project

Une expérience épistolaire d'écriture à quatre mains. Venez vous inscrire pour correspondre avec des personnes situées de l’autre côté de l’Atlantique. Vous pourrez ensuite, si vous le souhaitez, envoyer à Moltogone le résultat de vos recherches poétiques.

A four-hand writing experiment based on postal correspondence. Click and sign in to exchange words with someone living across the Atlantic Ocean. A book will then be published with what you will have decided to send us over. All New Worlders, welcome.

Les toilettes

La pièce, bien que grande, paraît étriquée. Baignoire, évier, cuvette, murs, rideau de douche, miroir, carrelage rose et vert, plinthes, porte-savon et boutons de porte sont recouverts de mots gravés, peints, écrits. Ici, chacun écrit, où bon lui semble. Libre de dire, cracher, éructer des mots plus ou moins nécessaires – maxime, réclame, vers. Les toilettes ou l’espace libre de faïence.

les WC, l'expérimentation, l'écriture automatique, anonyme, le principe d'un blog anonyme, voilà ce que c'est, universel et gratuit et ouvert à tous ! Un petit texte caché de Richard Flurin, alias Isidore Cavour, sur la pissomanie, sorte d'entrée secondaire aux toilettes

La chambre d'amis

Dans un coin, un homme peint un mur en blanc. On aménage, prépare la pièce qui accueillera ceux qui partagent les idées, les envies, les aspirations de Moltogone.

La chambre d'amis est ouverte : partenaires de danse, collègues, camarades, artistes divers à qui MOltogone fait confiance.

Vestibule

Ici, on vous accueille, on se présente et on discute. Ici, pièce utile, sas essentiel, c’est là qu’on peut laisser des mots, des lettres.

on en revient pour l'instant au manifeste, à l'entrée, au projet éditorial en fait, on l'on annonce nos intentions, nos envies, nos volontés