Par là, on revient de là où on vient.
C’est bruyant ici. Ça grince, ça tourne, ça cliquette et ça coupe. Les machines comme des géants délicats s’activent dans la joie et, orfèvres hors pair, voient naître sous leurs doigts pages et plis, mots et traits. Là, les objets bruissants attendent d’être maniés.
Il y en a tant à venir, même si certaines machines tournent pour l’heure à vide. D’un coin, on nous murmure de laisser le temps faire son ouvrage, de revenir un peu plus tard pour voir ce qu’il y aura à voir.